Mathilde Monnier
Territoires
27 – 29 septembresept.
Vendredi 27 septembre
19h30
Vendredi 27 septembre
21h30
Samedi 28 septembre
19h30
Samedi 28 septembre
21h30
Dimanche 29 septembre
19h30
Dimanche 29 septembre
21h30
Conception et chorégraphies Mathilde Monnier. Avec I-Fang Lin, La Ribot, Corinne Garcia, Martín Gil, Lucia García Pullés, Julien Gallée-Férré, Rémy Héritier, Jone San Martin, Carolina Passos Sousa, Thiago Granato, Zoé Lakhnati, Andrea Givanovitch, Michael Nana, Jessica Allemann et les étudiantes et étudiants du master d’interprète du CNSMDP. Auteur, compositeur et interprète Babx.
Avec la participation exceptionnelle de Philippe Katerine, le dimanche 29 septembre.
Production Association MM
La compagnie MM est soutenue par la Drac Occitanie – ministère de la Culture
Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
En partenariat avec le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (Stéphane Pallez, présidente ; Émilie Delorme, directrice)
Le Centre Pompidou et le Festival d’Automne à Paris présentent ce spectacle en coréalisation.
Investissant les galeries du Centre Pompidou le temps d’un week-end, Mathilde Monnier propose avec Territoires un travail sur la mémoire et la circulation, comme « une collection de 30 ans de gestes issus de ses créations ». Une façon de faire jouer la mémoire au présent, dès maintenant, ou par anticipation.
Comment construire une mémoire de la danse qui ne passe pas par la seule reconstitution des spectacles, mais soit capable de réduire la quintessence des œuvres à des effets de citations gestuelles, se demande Mathilde Monnier. Alors que le Centre Pompidou se prépare à fermer pour d’importants travaux, la chorégraphe fait du Musée national d’art moderne le terrain de jeu idéal pour défricher ces territoires. De pièce en pièce, Mathilde Monnier a constitué un corpus chorégraphique unique dialoguant avec le texte et l’art contemporain, la musique et le documentaire. Jamais là où on l’espère, cette artiste sur le fil déjoue les attentes une fois de plus. Territoires permettra de remettre ces gestes en circulation, de les actualiser. « En sortant les gestes du spectacle, de leur contexte chorégraphique, on leur redonne une actualité, une autonomie, on les offre aux spectateurs comme des gestes pour le présent ». Territoires est une œuvre pour se souvenir que l’on est vivant.
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