Talents Adami Théâtre, Mohamed El Khatib

Stand-up

Théâtre du Rond-Point
15 – 19 octobreoct.
Espace 1789, scène conventionnée danse – Saint-Ouen
19 – 20 décembredéc.
1/3

Première mondiale

1h10

Tarifs 8 € à 18 €
Abonnés 8 € à 14 €

Théâtre du Rond-Point

Mardi 15 octobre

19h30

Mercredi 16 octobre

19h30

Jeudi 17 octobre

19h30

Vendredi 18 octobre

19h30

Samedi 19 octobre

15h

Samedi 19 octobre

18h30

Espace 1789, scène conventionnée danse – Saint-Ouen

Jeudi 19 décembre

20h

Vendredi 20 décembre

20h

Mise en scène Mohamed El Khatib. Avec Emma Bojan, Chakib Boudiab, Thomas de Fouchécour, Gabrielle Giraud, Emna Kallal, Ayşe Kargili, Kevin Perrot, Najim Ziani. Collaboration artistique Camille Nauffray, Fred Hocké. Son Arnaud Léger.

Production Zirlib
Coproduction Adami ; Festival d’Automne à Paris
En collaboration avec le Théâtre du Rond-Point
Zirlib est conventionnée par la Drac Centre-Val de Loire – ministère de la Culture et par la Ville d’Orléans
Mohamed El Khatib est artiste associé au Théâtre de la Ville-Paris, au Théâtre national de Bretagne et au Théâtre National Wallonie-Bruxelles

L’Adami et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en collaboration avec le Théâtre du Rond-Point.

Mohamed El Khatib dans Douce France
À écouter sur France Culture

Le stand-up mis à l’honneur par Mohamed El Khatib
À lire dans Le Monde

Avec le soutien de

Tonnerre d’applaudissements ou vent glacial ? Selon Mohamed El Khatib, ce risque auquel se frotte le stand-up l’érige en art théâtral à part entière. Écrin des expressions les plus libres, il fraye la voie d’un rire transgressif, dans un espace cathartique et rassembleur.

Dans le cadre de Talents Adami Théâtre, l’artiste a proposé aux interprètes de lui envoyer une vidéo de deux minutes qui le fasse rire. Un levier drôle, mais surtout démocratique, de sélection des huit jeunes interprètes qui habitent aujourd’hui le plateau. Souvent relégué au rang de one (wo)man show, le stand-up repose en réalité sur une écriture ciselée, condition même de l’improvisation, et se déplie la plupart du temps dans une mise en scène réduite au strict minimum. Dans cette épure radicale du théâtre, seuls les ressorts de la vitalité, de la mise en péril et d’une écriture singulière donnent chair au spectacle. Mohamed El Khatib joue d’abord la carte traditionnelle du stand-up, en donnant à voir chaque soliste dans son univers personnel, son rapport au pouvoir, aux catégories sociales, au sexe, aux peurs, aux préjugés, avant de composer peu à peu une partition chorale qui traverse l’histoire du stand-up, ses origines et son insolente habileté à prendre le pouls des faits de société. Phénomène éminemment contemporain, le stand-up serait-il une plateforme des récits manquants ? 

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