Soa Ratsifandrihana
Fampitaha, fampita, fampitàna
18 – 22 septembresept.
Mercredi 18 septembre
19h30
Jeudi 19 septembre
19h30
Vendredi 20 septembre
19h30
Samedi 21 septembre
18h30
Dimanche 22 septembre
15h30
Direction artistique Soa Ratsifandrihana. Chorégraphie et interprétation Audrey Mérilus, Stanley Ollivier, Soa Ratsifandrihana. La phrase footwork est de Raza. Musique originale et interprétation Joël Rabesolo. Dramaturgie Lily Brieu Nguyen. Collaboration artistique Jérémie Polin Razanaparany dit « Raza », Amelia Ewu, Thi Mai Nguyen. Lumières Marie-Christine Soma. Costumes Harilay Rabenjamina. Avec la complicité de l'Atelier Costumes du Théâtre Varia — Fabienne Damiean, Baptiste Alexandre, Marie-Céline Debande. Son Chloé Despax, Guilhem Angot. Regard sur les questions de transmission et d’identité Prisca Ratovonasy. Textes Sékou Semega. Regard extérieur Maria Dogahe. Vidéos Valérianne Poidevin, Antoine Chambre. Régie générale de la création Blaise Cagnac. Régie lumière (en alternance) Diane Guérin, Julien Rauche. Régie son (en alternance) Guilhem Angot, Paul Boulier, Jean-Louis Waflart. Développement, production, diffusion ama brussels - Babacar Ba, Clara Schmitt, Emi Parot, France Morin.
Production déléguée ama brussels ; Théâtre Varia (Bruxelles)
En collaboration avec Météores
Coproduction Kaaitheater ; Kunstenfestivaldesarts (Bruxelles) ; Théâtre Varia ; Charleroi danse – Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles ; MC93 – Maison de la culture de Seine-Saint-Denis ; ICI – Centre chorégraphique national Montpellier-Occitanie Pyrénées Méditerranée ; Centre chorégraphique national d’Orléans ; Le Gymnase – CDCN Roubaix-Hauts-de-France ; La Place de la danse CDCN Toulouse-Occitanie ; Fonds Yavarhoussen ; Tanz im August – HAU Hebbel am Ufer (Berlin) ; Fonds Transfabrik - fonds franco-allemand pour le spectacle vivant ; La Coop asbl (Bruxelles) ; Shelter Prod (Bruxelles)
Coproduction A-CDCN (Les Hivernales – CDCN d’Avignon ; La Manufacture – CDCN Nouvelle-Aquitaine Bordeaux · La Rochelle ; L’échangeur – CDCN Hauts-de-France ; Le Dancing CDCN Dijon Bourgogne-Franche-Comté ; Chorège I CDCN Falaise Normandie ; Le Pacifique – CDCN Grenoble-Auvergne-Rhône-Alpes ; Touka Danses – CDCN Guyane ; Atelier de Paris / CDCN ; Le Gymnase CDCN Roubaix-Hauts-de-France ; POLE-SUD CDCN / Strasbourg ; La Place de la danse CDCN Toulouse-Occitanie ; La Maison Danse CDCN Uzès Gard Occitanie ; La briqueterie CDCN du Val-de-Marne)
Résidences ICI – Centre chorégraphique national Montpellier-Occitanie Pyrénées Méditerranée ; La Bellone – Maison du spectacle (Bruxelles) ; Gemeenschapscentrum De Kriekelaar (Bruxelles) ; Université d’Antananarivo ; KAAP vzw (Bruges) ; Le Gymnase – CDCN Roubaix-Hauts-de-France ; Théâtre Varia ; Centre chorégraphique national d’Orléans ; Radio Grenouille
Soa Ratsifandrihana est artiste en résidence au Kaaitheater pour la période 2023-2025 et artiste associée au CCN d’Orléans
Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Direction de la danse ; Wallonie-Bruxelles International ; taxshelter.be ; ING ; Tax Shelter du gouvernement fédéral belge
Soa Ratsifandrihana est artiste en résidence au Kaaitheater pour la période 2023-2025
Remerciements à Julie Iarisoa, Makwa Joma, Arikaomisa Randria, à Naivo ; Maria Dogahe, Jonathan, Do sy Bodo
Pour Rado
La MC93 – Maison de la culture de Seine-Saint-Denis et le Festival d’Automne à Paris présentent ce spectacle en coréalisation.
Engageant les corps dans une oralité contemporaine, Soa Ratsifandrihana, le guitariste Joël Rabesolo et les performeuses et performeurs Audrey Mérilus et Stanley Ollivier se nourrissent de leurs récits diasporiques et de leurs origines pour raconter une histoire qu’ils auraient aimé entendre ou voir. Fampitaha, fampita, fampitàna – trois mots malgaches signifiant comparaison, transmission et rivalité – forment des déclinaisons dans lesquelles les interprètes glissent d’un état à l’autre et semblent suivre un mouvement en perpétuelle métamorphose.
Récits oraux, musicaux et chorégraphiques s’entremêlent dans une performance entre l’oralité et le mouvement pour nous rappeler que les corps, au même titre que les paroles ou les sons, portent nos histoires. Deuxième chapitre d’un diptyque commencé avec sa création radiophonique Rouge Cratère, Ratsifandrihana – précédemment remarquée avec son solo g r oo v e – s’est inspirée de paroles et récits qu’elle a recueillis notamment lors d’un voyage récent à Madagascar. Elle voyage vers une forme d’errance et explore comment, à l’image de la créolisation, plusieurs influences peuvent mener à un éclatement inouï de cultures.
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