Radouan Mriziga

Libya

Le Point Fort d'Aubervilliers
21 – 22 septembresept.
1/3

1h

Tarifs 8 € à 15 €
Abonnés 8 € à 10 €

Le Point Fort d'Aubervilliers

Samedi 21 septembre

20h

Dimanche 22 septembre

12h

Concept, chorégraphie, scénographie et lumière Radouan Mriziga. Avec & par Sondos Belhassen, Mahdi Chammem, Hichem Chebli, Bilal El Had, Maïté Minh Tâm Jeannolin, Senda Jebali, Feteh Khiari, Myriam Rabah-Konaté. Conception des costumes Anissa Aidia et Lila John. Contribution poétique And set them alight d'Asmaa Jama. Assistance Aïcha Ben Miled, Nada Khomsi, Khalil Jegham. 

Production A7LA5 vzw, L'Art Rue/Dream City.
Coproduction Festival de Marseille, L'Art Rue, deSingel, Abu Dhabi Cultural Foundation, C-Mine, Moussem Nomadic Arts Center. 
Résidences Kaaitheater Bruxelles, L'Art Rue Tunis
Avec le soutien du gouvernement flamand
Management et distribution Something Great
Avec le soutien de Wevioo et Focus

La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers et le Festival d’Automne à Paris présentent cette Carte Blanche en coréalisation.

Avec le soutien de

Troisième pièce du chorégraphe marocain Radouan Mriziga invité cette année au Festival d’Automne, Libya explore la notion de « savoir » dans laquelle huit interprètes et une série de lignes au sol semblent dessiner les trajectoires d’une constellation de mouvements que nous sommes sur le point d’observer. 

Libya célèbre l’héritage Amazigh du Maghreb où l’artisanat, la science, les cultures et la philosophie se transmettent par la langue, les histoires, les danses et les chants. Radouan Mriziga conçoit ce spectacle comme un paysage contemplatif, amplifié par la musique amazighe. Faite de longues temporalités, d’intensité et d’émotivité contenue, le tarab – influencé par les musiques amazighes – implique une écoute particulière : se perdre et se laisser porter. Libya applique ce même sentiment d’abandon à la danse et à l’inconnu. À mi-chemin avec la performance, le chorégraphe transforme la danse en un paysage d'histoires. Il honore et partage l’héritage Amazigh, dans lequel le chant transmis entre eux devient l’élément qui les unit. 

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