Radouan Mriziga

Atlas/The Mountain

CND Centre national de la danse
14 – 16 novembrenov.

Première française

45 minutes

Tarifs 8 € à 15 €
Abonnés 5 € et 10 €

CND Centre national de la danse

Jeudi 14 novembre

19h

Vendredi 15 novembre

19h

Samedi 16 novembre

18h30

Chorégraphie et interprétation Radouan Mriziga. Coordination Synda Jebali. Assistant Mohamed Ridha Ben Khoud. Création sonore Zouheir Atbane. Costumes Salah Barka assistée d’Emna Bououn et de Rim Abbes. 

Production L’Art Rue (Tunis) ; A7LA5 vzw (Bruxelles)
Coproduction CND Centre national de la danse ; DE SINGEL (Anvers) ; Theater Freiburg ; Festival d’Automne à Paris
Distribution Something Great

Le CND Centre national de la danse et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.

Avec Atlas/The Mountain, le chorégraphe marocain Radouan Mriziga transforme son corps en catalyseur des énergies et des traditions issues des montagnes de l’Atlas, dans un solo en forme de rituel, traversé par des figures polymorphes et des rythmes envoûtants.

Atlas/The Mountain est la première partie d’une trilogie consacrée aux éléments, qui comprendra également le désert (Magec) et la mer (Awessu). Inspirée par les récits mythologiques de la culture Amazigh, dont est issu le chorégraphe, Atlas plonge ses racines dans cet écosystème culturel afin d’en extraire un ensemble de savoirs et de pratiques liées à l’art, à la philosophie, aux sciences ou à l’artisanat. Pour ce solo, Radouan Mriziga est allé puiser dans un ensemble de traditions – collectant des danses, des costumes et des musiques d’Afrique du Nord – pour exposer un corps modelé par les rythmes, entraîné dans une spirale en constante transformation. Les montagnes – symbole multiple, à la fois lieu difficile d’accès et refuge, porte vers le ciel et lien avec le sacré – lui ont servi de support de métamorphose. Au prisme de l’abstraction et de la géométrie, sa danse convoque des présences mystérieuses et des forces occultes. À la manière d’une traversée, d’un voyage initiatique, les figures mi-humaines mi-animales qu’il fait surgir mettent l’assistance en relation avec les cimes, et instaurent un espace de partage des pratiques et des connaissances.