Rabih Mroué

The Inhabitants of Images

ConférenceThéâtre Portrait
Lafayette Anticipations – Fondation Galeries Lafayette
21 septembresept.

1h

En anglais, surtitré en français

Tarifs 8 € et 12 €
Abonnés 8 € 

Lafayette Anticipations – Fondation Galeries Lafayette

Samedi 21 septembre

19h

Une conférence non académique de Rabih Mroué. Traduction en anglais Ziad Nawfal. Traduction en français Jean-Luc Defromont.

Coproduction Tanzquartier Wien GmbH ; Bidoun ; The Lebanese Association for Plastic Arts, Ashkal Alwan (Beyrouth)

En partenariat avec L'Orient Le Jour

Lafayette Anticipations et le Festival d’Automne à Paris présentent ce programme en coréalisation. 
Dans le cadre du festival Échelle Humaine de Lafayette Anticipations organisé avec la Fondation Calouste Gulbenkian— Délégation en France. 

Échange avec le metteur en scène Rabih Mroué
Samedi 21 septembre à 20h, gratuit sur réservation.
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L’idée des « conférences non académiques » de Rabih Mroué est de détourner le principe de la conférence, en en imitant le dispositif, dans une perspective de performance. Il ne s’agit pas de traiter avec dérision son principe, mais plutôt d’exploiter le pouvoir de l’exercice en tant qu’adresse publique, en y opérant un glissement qui préserve à dessein son ambiguïté, passant de la présentation à la représentation, du réel à l’imaginaire. L’illusion est troublante, le ton est neutre, l’expertise semble avérée, les documents à l’appui du discours suggèrent l’authenticité : c’est le but du jeu, tour à tour malicieux, émouvant et intellectuellement stimulant. 

Avec The Inhabitants of Images (2008) Rabih Mroué commente des images et, ceci faisant, dissèque le mélange de politique, fiction et réalité, qui caractérise les discours politiques au Liban. D’une part la rencontre supposée, concrètement impossible, entre Gamal Abdel Nasser et Rafic Hariri, responsables politiques défunts, d’autre part les photos des « martyrs » du Hezbollah placardées dans les rues de Beyrouth, fournissent à l’intervenant matière à développer des observations dont les invraisemblances n’ôtent rien à la pertinence.

Entretien avec Lina Majdalanie et Rabih Mroué

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L’idée des « conférences non académiques » de Rabih Mroué est de détourner le principe de la conférence, en en imitant le dispositif, dans une perspective de performance. Il ne s’agit pas de traiter avec dérision son principe, mais plutôt d’exploiter le pouvoir de l’exercice en tant qu’adresse publique, en y opérant un glissement qui préserve à dessein son ambiguïté, passant de la présentation à la représentation, du réel à l’imaginaire. L’illusion est troublante, le ton est neutre, l’expertise semble avérée, les documents à l’appui du discours suggèrent l’authenticité : c’est le but du jeu, tour à tour malicieux, émouvant et intellectuellement stimulant. 

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L’idée des « conférences non académiques » de Rabih Mroué est de détourner le principe de la conférence, en en imitant le dispositif, dans une perspective de performance. Il ne s’agit pas de traiter avec dérision son principe, mais plutôt d’exploiter le pouvoir de l’exercice en tant qu’adresse publique, en y opérant un glissement qui préserve à dessein son ambiguïté, passant de la présentation à la représentation, du réel à l’imaginaire. L’illusion est troublante, le ton est neutre, l’expertise semble avérée, les documents à l’appui du discours suggèrent l’authenticité : c’est le but du jeu, tour à tour malicieux, émouvant et intellectuellement stimulant. 

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
23 – 28 septembresept.

Rabih Mroué
Who’s Afraid of Representation?

Théâtre Portrait

Nous sommes en compagnie de figures du Body Art européen (Joseph Beuys, Orlan, Marina Abramović…) via leurs témoignages relatifs aux exhibitions et scarifications publiques pratiquées autour des années 1970. Parallèlement, intervient le récit d’un employé de bureau libanais relatant la tuerie véridique qu’il a perpétrée sur son lieu de travail, arguant de motivations fluctuantes.

Théâtre Silvia Monfort
16 – 18 octobreoct.

Lina Majdalanie, Rabih Mroué, Mazen Kerbaj
Borborygmus

Théâtre Portrait
Réserver

Un trio s’adonne à des proférations viscérales, un chœur extravagant, soutenu par une partition complexe de sons et lumières. Chaque séquence surgit, rebondissant sur une liaison impromptue, développant une nouvelle thématique, constats désemparés, souvenirs, hommages, visions apocalyptiques, observations intimes, expériences inavouables.

Théâtre de la Cité internationale
22 – 25 octobreoct.

Lina Majdalanie, Rabih Mroué
Photo-Romance

Théâtre Portrait
Réserver

Comment présenter l’adaptation d’un célèbre film de cinéma à la censure libanaise ? L’on devinera qu’il s’agit d’un film qui raconte la rencontre improbable de deux êtres très dissemblables subissant une aliénation sociale dans l’Italie fasciste de 1938. L’adaptation se situe à Beyrouth en 2007, peu après une attaque israélienne sur le Liban.

La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers
13 – 16 novembrenov.

Lina Majdalanie, Rabih Mroué
Biokhraphia

Théâtre Portrait
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Présentés au sein d’une même soirée, Biokhraphia et Riding on a cloud interrogent l’autoportrait. Dans Riding on a cloud, un homme appelé Yasser se confie à un dictaphone, projette des vidéos et diffuse des enregistrements, tout en émettant des réserves sur la conformité de ces documents avec sa véritable personne. Dans Biokhraphia, c’est Lina Majdalanie qui se prête à une très insolite interview.

La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers
13 – 16 novembrenov.

Rabih Mroué
Riding on a cloud

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Présentés au sein d’une même soirée, Biokhraphia et Riding on a cloud interrogent l’autoportrait. Dans Riding on a cloud, un homme appelé Yasser se confie à un dictaphone, projette des vidéos et diffuse des enregistrements, tout en émet-tant des réserves sur la conformité de ces documents avec sa véritable personne. Dans Biokhraphia, c’est Lina Majdalanie qui se prête à une très insolite interview.

Fondation Cartier pour l'art contemporain
18 novembrenov.

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Before Falling Seek the Assistance of Your Cane

ConférencePerformance Portrait

Le duo Lina Majdalanie et Rabih Mroué présente deux « conférences non académiques » et un concert-performance cosigné avec Rima Khcheich.

Théâtre du Rond-Point
22 – 24 novembrenov.

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33 tours et quelques secondes

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Qui est Diyaa Yamout, militant des droits de l’homme, artiste et blogueur libanais dont le suicide agite le pays ? On ne le saura pas vraiment et cela n’a pas d’importance. Ce qui fascine ici ce sont les réactions foisonnantes et hétéroclites qui défilent sur Facebook, à la télévision, par sms ou sur répondeur. 

Fondation Cartier pour l'art contemporain
25 novembrenov.

Rabih Mroué, Rima Khcheich
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2 décembredéc.

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CENTQUATRE-PARIS
4 – 8 décembredéc.

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En 1947, a lieu aux États-Unis le procès du dramaturge allemand Bertolt Brecht devant le Comité des activités anti-américaines (HUAC) chargé de lutter contre l’activisme communiste. Dans ces circonstances, Brecht avait rédigé une déclaration qu’il lui fut interdit de lire. Les minutes du procès, ainsi que cette déclaration, constituent l’un des axes de ce spectacle foisonnant.

Fondation Fiminco
16 – 20 décembredéc.

Rabih Mroué, Anne Teresa De Keersmaeker
A little bit of the moon

DansePerformance Portrait
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À l’invitation exceptionnelle du Festival d’Automne, la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker et le metteur en scène Rabih Mroué ont partagé pendant 10 mois leurs pensées, inquiétudes, doutes, et questions sur la politique, l’art et la vie. À l’issue de ces nombreuses rencontres virtuelles, les deux artistes se rencontreront sur le plateau de l’ancien complexe industriel de la Fondation Fiminco pour redessiner, le temps d’une performance, un nouveau monde en commun.

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Musée de l’Orangerie
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Dalila Belaza
Figures (version performative)

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Avec Figures, Dalila Belaza enquête sur la possibilité d’un rite universel, en inventant une danse traditionnelle imaginaire « sans origine ni territoire » qui relie le présent à l’éternité. Une force qui prend possession du corps, en écho à un patrimoine dont chacun est chargé, souvent inconsciemment.

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L’idée des « conférences non académiques » de Rabih Mroué est de détourner le principe de la conférence, en en imitant le dispositif, dans une perspective de performance. Il ne s’agit pas de traiter avec dérision son principe, mais plutôt d’exploiter le pouvoir de l’exercice en tant qu’adresse publique, en y opérant un glissement qui préserve à dessein son ambiguïté, passant de la présentation à la représentation, du réel à l’imaginaire. L’illusion est troublante, le ton est neutre, l’expertise semble avérée, les documents à l’appui du discours suggèrent l’authenticité : c’est le but du jeu, tour à tour malicieux, émouvant et intellectuellement stimulant.