Forced Entertainment

Signal to Noise

Centre Pompidou
27 – 30 novembrenov.
1/3

Première française

1h30

En anglais, surtitré en français

Tarifs 8 € à 18 € 
Abonnés 8 € et 14 €

Centre Pompidou

Mercredi 27 novembre

20h

Jeudi 28 novembre

20h

Vendredi 29 novembre

20h

Samedi 30 novembre

20h

Conception et élaboration Forced Entertainment. Mise en scène, texte, musique et son Tim Etchells. Conçu et interprété par Robin Arthur, Seke Chimutengwende, Richard Lowdon, Claire Marshall, Cathy Naden, Terry O’Connor. Dramaturgie Tyrone Huggins. Lumières Nigel Edwards. Design Richard Lowdon. Gestion de la production Jim Harrison. Directeur technique de la tournée Alex Fernandes.

Production Forced Entertainment
Coproduction Athens Epidaurus Festival ; Les Spectacles vivants – Centre Pompidou ;  HAU Hebbel am Ufer (Berlin) ; Holland Festival (Amsterdam) ; Künstlerhaus Mousonturm (Francfort) ; PACT Zollverein (Essen) ; Théâtre Garonne – Scène européenne ; Festival  d’Automne à Paris
Soutenu par le British Council dans le cadre du programme Royaume-Uni/France Spotlight sur la Culture 2024 Imaginons Ensemble

Le Centre Pompidou et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.

« Signal to Noise », le réel et son double artificiel restitués sur scène par Forced Entertainment
À lire dans Le Monde

Avec le soutien de

La compagnie menée par Tim Etchells fête ses quarante ans d’existence et n’en finit pas de se renouveler. Plongés dans une réalité virtuelle qui vacille, six comédiennes et comédiens se voient dépossédés de leurs voix, et de leur être. C’est à ne plus rien y comprendre… Bienvenue dans ce nouveau monde.

On pourrait être devant un plateau de télévision ou un studio de radio. Il semblerait que six personnes préparent la diffusion d’une émission. Répétant leur texte. Réglant leur micro. Arrangeant leur décor et leurs accessoires. Le direct est imminent… Et puis tout part en vrille, comme souvent dans les spectacles de Forced Entertainment. Parce que les voix que l’on entend ne correspondent plus à ce que l’on voit sur scène. Parce que celles-ci paraissent étrangement inhumaines... Et qu’elles se mettent à accélérer, sans raison. Et ralentir, sans crier gare. C’est drôle et chaotique, et surtout déconcertant et intriguant. Qui sont ces gens au plateau ? Que se passe-t-il lorsqu’un individu est dépossédé de sa voix ? Que devient cette soi-disant réalité virtuelle lorsqu’elle disjoncte ? La compagnie britannique qui fête ses quarante ans de création n’a jamais été aussi proche de l’ambition qui traverse toute son œuvre : déconstruire le théâtre pour en faire advenir toute sa modernité.

Dans le même lieu