Claudia Triozzi
Pour rien mais dans le bon sens
21 – 23 novembrenov.
Jeudi 21 novembre
19h
Vendredi 22 novembre
19h
Samedi 23 novembre
18h
Samedi 23 novembre
20h
Conception, interprétation, images, enregistrements sonores, textes et création espace Claudia Triozzi. Régie Sylvain Labrosse. Montage images Claudia Triozzi assistée d’Elisabeth Banom et Sylvain Labrosse. Création sonore Marc Baron à partir des matériaux originaux de Claudia Triozzi. Musique Haco. Régie son Félix Perdreau. Construction Sylvain Labrosse et Adrien Castillo. Modélisation espace Gabriel Rocha Oliveira.
La Ménagerie de verre et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.
Production déléguée La Ménagerie de verre
Coproduction Festival d’Automne à Paris ; Les Bazis – Arts vivants en Couserans
La création de cette pièce a bénéficié d’ateliers avec les résidentes et résidents de l’hôpital Fernand Widal, une résidence proposée par le Festival d’Automne dans le cadre de son partenariat avec l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris ; de l’Ehpad – résidence de la Vallée du Volp, Sainte-Croix-Volvestre avec Les Bazis ; de l’Ehpad Cousin de Méricourt – Résidence en autonomie avec Anis Gras – Le lieu de l’Autre ; de l’Ehpad Mutualiste Les Hortensias de Dijon avec Le Dancing CDCN Dijon Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre du dispositif accueil-studio – ministère de la Culture
Remerciements aux Laboratoires d’Aubervilliers
Coréalisation la Ménagerie de verre ; Festival d’Automne à Paris
La Ménagerie de verre reçoit le soutien Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Avec le soutien de l’Institut Culturel Italien de Paris
Les résidences artistiques à l’AP-HP sont organisées avec le soutien de la Fondation de France et de la SACD.
Claudia Triozzi propose dans Pour rien mais dans le bon sens une expérience performative qui poursuit la démarche de « transmission par le corps » qu’elle explore depuis 2011, une recherche qu’elle a pu approfondir cette année dans le cadre d’une résidence à l’hôpital proposée par le Festival d’Automne.
En complicité avec un groupe de séniors, Claudia Triozzi instaure un langage chorégraphique-performatif dans lequel la virtuosité et l’endurance cèdent la place aux potentialités dont disposent ces corps souvent éloignés de la scène. Nourrie par les expressions gestuelles saisies chez les résidentes et résidents de différents établissements gériatriques et à partir d’exercices empruntés à des activités physiques adaptées, la chorégraphe élabore des temps de créativité communs et des récits à partager. Ainsi cherche-t-elle à générer une « présence vacillante » dans Pour rien mais dans le bon sens, à l’entre lacement de l’espace, du son, de la matière corporelle et des objets ludiques issus du quotidien. Claudia Triozzi convoque les notions d’ombre, de reflet et d’écho, qui permettent de décliner les nombreuses possibilités de mettre en scène un « corps traversé », sans limite d’âge et sans les artifices de la théâtralité.
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