El Conde de Torrefiel
Guerilla
12 – 15 octobreoct.
© Guerilla © El Conde de Torrefiel ©
Concept et création, El Conde de Torrefiel
Mise en scène et dramaturgie, Tanya Beyeler et Pablo Gisbert
Assistant à la mise en scène, Nicolas Chevallier
Scénographie, El Conde de Torrefiel, Isaac Torres
Assistante chorégraphique, Amaranta Velarde
Direction et coordination technique, Isaac Torres
Interprète, Amaranta Velarde et un groupe d’amateurs
Texte, El Conde de Torrefiel en collaboration avec les participant·es locaux
Traduction, Marion Cousin (français), Nika Blazer (anglais)
Conseiller dramaturgique, Roberto Fratini
Lumière, Ana Rovira, Isaac Torres
Technicien lumière, Guillem Bonfill
Espace sonore et sélection musciale, Rebecca Praga, Pink Elephant on Parade, Uriel Ireland
Technicien son, Uriel Ireland
Production exécutive CIELO DRIVE SL
Coproduction Kunstenfestivaldesarts (Bruxelles) ; Noorderzon Performing Arts Festival (Groningue) ; Steiricher Herbst festival(Graz) ; ICEC - Generalitat de Catalunya ; réseau NXTSTP (avec le soutien du Programme Culture de l’Union Européenne)
Avec le soutien de Graner, Centre de creació (Barcelona) ; ICEC – Generalitat de Catalunya ; INAEM, Ministerio de Cultura de España ; Institut Ramón Llull (Paris)
La Maison des métallos et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs du programme MANIFIESTO SONORO et le présentent en coréalisation
Avec Guerrilla, El Conde de Torrefiel propose une expérience théâtrale unique, électrique et politique en trois tableaux distincts - une conférence, une classe de tai-chi et une session de musique électronique - pour mettre en scène l’univers intérieur confus et contradictoire de personnes qui partagent un même présent et ne savent comment faire face à un futur commun, dans un monde constamment en quête de règles, de symboles et d’outils nouveaux pour l’interpréter.
Le texte projeté sur un écran, porteur des pensées les plus intimes de ces gens qui se diluent dans la masse uniforme de la foule, est comparé et superposé à l’image rythmique et constante qu’ils projettent.
Guerrilla observe les tensions que vit l’Europe : des pensées incendiaires au sein d’une zone de confort ; un amour qui s’égare trop facilement ; une application excessive du carpe diem ; une présence permanente de l’Histoire ; une solution individuelle à des problèmes collectifs ; un polythéisme matériel ; un éternel dilemne entre passion et raison.
« Guerrilla est une fiction mais nous travaillons chaque fois avec un groupe de soixante à quatre-vingts personnes recrutées sur place, qui ne sont pas forcément des comédiens professionnels. Quand les gens se portent volontaires pour participer au spectacle, nous leur posons par écrit une question sur les liens éventuels entre eux ou leur famille et des conflits armés, nous les invitons à raconter ces histoires de conflits vécus à la première personne. [...] Dans chaque nouveau lieu, Guerrilla s’adapte aux caractéristiques des personnes. » — El Conde de Torrefiel