Alexander Zeldin
The Confessions
Texte et mise en scène, Alexander Zeldin
Interprètes, Joe Bannister, Amelda Brown, Jerry Killick, Lilit Lesser, Brian Lipson, Eryn Jean Norvill, Pamela Rabe, Gabrielle Scawthorn, Yasser Zadeh
Scénographie et costumes, Marg Horwell
Mouvement et chorégraphie, Imogen Knight
Lumière, Paule Constable
Composition musicale, Yannis Philippakis
Son, Josh Anio Grigg
Directeur de casting, Jacob Sparrow
Collaboration à la mise en scène, Joanna Pidcock
Assistante à la dramaturgie, Sasha Milavic Davies
Travail de la voix, Cathleen McCarron
Production Compagnie A Zeldin
Commande de The National Theatre of Great Britain ; RISING : Melbourne ; Théâtres de la Ville de Luxembourg
Coproduction Wiener Festwochen ; Comédie de Genève ; Odéon-Théâtre de l’Europe ; CCB – Centro Cultural de Belém ; Théâtre de Liège ; Festival d’Avignon ; Festival d’Automne à Paris ; Athens Epidaurus Festival ; Piccolo Teatro di Milano – Teatro d’Europa ; Adelaide Festival ; Centre Dramatique National de Normandie-Rouen
La Compagnie A Zeldin est conventionnée par la Drac Île-de-France
Alexander Zeldin est artiste associé au National Theatre of Great Britain ; Odéon-Théâtre de l’Europe ; Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Centre Dramatique National de Normandie-Rouen
Mécènes de la production Nancy et Michael Timmers, David Schwimmer, Cas Donald, Elisabeth de Kergorlay, Mazdak Rassi et Zanna Roberts Rassi, Andrew et Raquel Segal, Victoria Reese et Greg Kennedy, Studio Indigo Architects & Interior Designers
L’Odéon-Théâtre de l’Europe et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation
De l’Australie au Royaume-Uni, le dramaturge et metteur en scène Alexander Zeldin compose avec The Confessions une fresque épique racontant l’histoire d’une femme de sa naissance jusqu’à sa mort.
Brosser un portrait de femme au carrefour de la grande et de la petite histoire, avec ses aspirations, ses amours, tel est le projet d’Alexander Zeldin dans cette épopée humaine à cheval entre deux continents. Née en 1943 en Australie, Alice est d’abord confrontée à l’étroitesse d’esprit d’une société dominée par le conservatisme des années 1950, pour bientôt s’émanciper sur fond de féminisme et de libération sexuelle, et rechercher la paix en quittant son pays. À travers elle, le spectacle retrace les nombreux mouvements qui ont façonné une époque en transformation perpétuelle. Ce récit d’une femme qui au soir de sa vie revient sur les moments heureux ou tragiques ayant marqué son existence, ce « portrait d’un cœur alors qu’il se prépare à cesser de battre », compose une vaste fresque d’autant plus touchante qu’inspirée librement de l’histoire familiale du metteur en scène.