Robyn Orlin

we wear our wheels with pride and slap your streets with color… we said ‘bonjour’ to satan in 1820…

Archive 2022
Danse
1/3

1h10

Conception, Robyn Orlin
Avec les danseurs de Moving Into Dance Mophatong : Sunnyboy Motau, Oscar Buthelezi, Eugene Mashiane, Lesego Dihemo, Sbusiso Gumede et Teboho Letele
Lumières, Romain de Lagarde
Musique, UkhoiKhoi avec Yogin Sullaphen et Anelisa Stuurman
Vidéo, Eric Perroys
Costumes, Birgit Neppl
Régie général, Jean-Marc L’Hostis
Régie tournée, Thabo Pule
Régie plateau, Jordan Azincot
Administration, diffusion : Damien Valette
Coordination, Louise Bailly

Production City Theatre & Dance Group ; MIDM – Moving Into Dance Mophatong ; Damien Valette Prod
Coproduction Festival Montpellier Danse ; Tanz im August – HAU Hebbel am Ufer (Berlin) ; Chaillot – Théâtre national de la Danse (Paris) ; Le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique (Nantes) ; Charleroi danse – Centre chorégraphique de Wallonie Bruxelles ; théâtre Garonne – scène européenne (Toulouse) ; Château Rouge, scène conventionnée (Annemasse)
Coréalisation Chaillot – Théâtre national de la Danse (Paris) ; Festival d’Automne à Paris
Avec l’aide au projet du ministère de la Culture, Drac Île-de-France
Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels

« Cette création ne doit pas faire illusion et la dernière image projetée, et son commentaire aussi bref qu’explicite, cingle brutalement notre euphorie. » Denis Sanglard, Un Fauteuil pour l’Orchestre

Robyn Orlin invente la danse des pousse-pousse, par un hommage aux tireurs des rickshaws sud-africains d’antan. Une fête dansée et chantée pour dire leur joie de vivre, devenue force de résistance, et rendre hommage à l’esprit de la Rainbow Nation. 

Dans l’Afrique du Sud des années 1970, quand l’Apartheid faisait rage, les maîtres blancs se faisaient transporter par des hommes zoulous qui tiraient, avec force et habileté, des rickshaws hauts en couleurs. La jeune Robyn Orlin, encore préadolescente mais déjà rebelle, observait leurs parures fantasques et leur sautillement quasiment dansant. C’était l’époque où se forgeaient ses premières convictions politiques et aussi celle de la création de la compagnie Moving into Dance Mophatong (MIDM), nourrie des traditions zoulous et étendard de la danse contemporaine en Afrique du Sud. Quand elle retrouve aujourd’hui la troupe de Johannesburg, on assiste donc à un retour aux sources partagé. Danse, chants et costumes sont en fête quand les danseurs de MIDM rencontrent le chant bouleversant d’Anelisa Stuurman aka Annalyzer, vocaliste performeuse qui enflamme les clubs de l’Afrique du Sud à l’Europe et crée, avec le compositeur Yogin Sullaphen, un style nourri de slam, tradition autochtone des khoïsans et recherche musicale actuelle.

Dans le même lieu

Chaillot – Théâtre national de la Danse
26 – 29 septembresept.
Malakoff Scène nationale – Théâtre 71
7 novembrenov.

Nina Laisné, Néstor 'Pola' Pastorive
Como una baguala oscura

Danse
Réserver

Dans Como una baguala oscura, Nina Laisné s’associe au danseur et chorégraphe Néstor ‘Pola’ Pastorive pour dessiner un portrait musical et dansé de la pianiste argentine Hilda Herrera. En explorant les racines d’une musique populaire et folklorique, elle conçoit un spectacle résolument vivant, frappé du sceau de la liberté. 

Chaillot – Théâtre national de la Danse
27 – 30 novembrenov.

Robyn Orlin, Garage Dance Ensemble, uKhoiKhoi
…How in salts desert is it possible to blossom...

DanseMusique
Réserver

Pour la première fois, Robyn Orlin rencontre l’emblématique compagnie sud-africaine Garage Dance Ensemble, qui pratique une danse-théâtre engagée pour l’égalité et la justice sociale. Avec les interprètes de la région Nord-du-Cap, elle crée une performance débridée qui interroge les origines de la violence sociale. 

Chaillot – Théâtre national de la Danse
5 – 8 décembredéc.

Marcelo Evelin, Demolition Incorporada
Uirapuru

Danse
Réserver

Depuis le Nordeste brésilien, le chorégraphe Marcelo Evelin invite à pénétrer une forêt métaphorique et sa condition écologique. Guidés vers le chant du légendaire Uirapuru, oiseau rare et menacé, six interprètes incarnent à travers une danse minimaliste, la promesse de découvrir ce qui est et se dérobe encore à nos sens.