Nicolas Liautard et Magalie Nadaud

La loi de Murphy

Archive 2022
Théâtre
1/4

1h15

Texte, mise en scène, Nicolas Liautard, Magalie Nadaud
Avec Sarah Brannens, Jean-Charles Delaume, Jade Fortineau, Nicolas Liautard, Fabrice Pierre, Célia Rosich et la participation à l’image d’Émilien Diard-Detoeuf, Nicolas Roncerel, Nova Pierre et Sasha Molitor Rosich
Scénographie, création numérique, réalisation du cœlacanthe, Damien Caille-Perret
Musique, Thomas Watteau
Costumes, Sara Bartesaghi Gallo, Simona Grassano
Prothèse, Anne Leray
Réalisation, montage, Christophe Battarel
Réalisation du décor, Les Ateliers Jipanco et Cie
Régie générale et plateau, Emeric Teste
Régie lumière, régie vidéo, Morgane Viroli
Plateau, Julie Znosko

Production Robert de profil
Coproduction Théâtre-Sénart ; Théâtre Paris Villette
Robert de profil est conventionné par le ministère de la culture et de la communication – drac Ile-de-France et le conseil départemental du Val de Marne
Avec le soutien de la Ville de Fontenay-sous-Bois / Fontenay en scènes

La loi de Murphy, deuxième épisode de la série Pangolarium se situe treize années avant le premier épisode et nous présente, entre autres, le personnage de Juniper, la mère de Murphy, curieusement absente du premier épisode.

Juniper et Alistair sont en apparence un couple sans problème. Elle est scénariste, lui chercheur en génétique. Pour des raisons que l’on ignore, le couple a longtemps échoué à concevoir un enfant mais la pièce s’ouvre sur cette nouvelle : Juniper est enceinte. L’évènement n’a cependant pas l’air de réjouir Juniper qui n’est plus sûre de vouloir un enfant. Depuis quelques temps elle a d’étranges visions qui l’inquiètent. Lors d’un examen échographique, les médecins lui apprennent que le fœtus présente une malformation au niveau des cellules de l’épiderme. Les visions de Juniper se poursuivent. Son entourage s’inquiète pour sa santé mentale et envisage un internement psychiatrique. Dans cet épisode de la série Pangolarium, nous assistons aux échanges entre des représentants du groupe pharmaceutique Novacorp et des membres de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire chargée d’étudier les autorisations de mise sur le marché des nouvelles molécules. On assiste à la mise en place d’un système de lobbying récompensant les « bons » scientifiques.