Marlene Monteiro Freitas

Guintche (live version)

Archive 2022
Danse
1/3

1h

Chorégraphie et interpretation, Marlene Monteiro Freitas
Musique, Henri « Cookie » Lesguillier et Simon Lacouture (tambours), Johannes Krieger (trompette, extrait de Rotcha Scribida d’Amândio Cabral), Otomo Yoshihide (extrait d’un solo de guitare), Anatol Waschke (shrapnel)
Son, Rui Antunes
Lumières, Yannick Fouassier
Scénographie, Yannick Fouassier et Marlene Monteiro Freitas
Costumes, Marlene Monteiro Freitas 

Production P.OR.K (Soraia Gonçalves, Joana Costa Santos - Lisbonne)
Distribution Key Performance (Stockholm)
Coproduction Novo Negócio ZDB (Lisbonne)
Accueil en résidence O Espaço do Tempo (Montemor-o-Novo), Alkantara Festival (Lisbonne)
Avec le soutien de Re.Al (Lisbonne), Forum Dança – Associação Cultural (Lisbonne), Bomba Suicida – Associação de Promoção Cultural (Lisbonne)
Remerciements à Avelino Chantre, Pedro Lacerda, João Francisco Figueira, Anatol Waschke
Coréalisation Les Spectacles vivants – Centre Pompidou (Paris) ; Festival d’Automne à Paris

Manifestation organisée dans le cadre de la Saison France-Portugal 2022
Avec le soutien de LVMH, membre du Comité des mécènes de la Saison France-Portugal 2022

“Libérées, extravagantes, les pièces de Marlene Monteiro Freitas font du bruit, prennent de la place, explosent dans tous les sens.” Trois Couleurs 

“Douze ans de travail, huit productions à l’affiche jusqu’au 21 décembre pour brosser l'œuvre d’une artiste caoutchouteuse et insaisissable, vivante pâte à modeler se glissant dans toutes les formes sans entrer dans aucune case.” Le Monde

“Guintche subjugue par sa précision dans la folie d’une écriture aux allures instables. C’est brillant autant que fascinant.” Toute la Culture
“À Beaubourg, la chorégraphe cap-verdienne a présenté Guintche, un solo enfiévré au cours duquel elle multiplie de stupéfiants états corporels.” L’Humanité

Solo fantasque porté sur scène par Marlene Monteiro Freitas elle-même, Guintche fait naître une multitude d’images dans l’esprit du spectateur. La performeuse s’y révèle entière et multiple à la fois. Cette version live avec les musiciens Henri « Cookie » Lesguillier et Simon Lacouture est une offrande. 

Guintche a surgi d’un dessin d’un musicien de jazz que Marlene Monteiro Freitas avait réalisé et voulait animer. Puis Guintche a grandi, acquis de l’autonomie pour, enfin, se rebeller. De ce mot créole, du parler cap-verdien, désignant « un oiseau, le nom d’une prostituée ou, qui sait, une attitude » va naître ce solo à la beauté sulfureuse aujourd’hui augmentée dans sa version live. Marlene Monteiro Freitas y est accompagnée des musiciens Henri « Cookie » Lesguillier et Simon Lacouture. La performeuse et metteuse en scène dit ne pas faire de différence entre une partition musicale, un morceau de littérature, une idée ou une image en tant que point de départ d’un projet. Guintche se veut un kaléidoscope de sensations, où le corps devient l’objet de mues infinies. Aux rythmes des percussions répond le mouvement du bassin dans un continuum fiévreux. Boxeuse, sorcière, danseuse, Marlene Monteiro Freitas est tout ceci à la fois. Jamais la même, toujours une autre.

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