Ivana Müller
Forces de la nature
8 – 20 novembrenov.
Conception, texte et chorégraphie, Ivana Müller
en collaboration avec Julien Gallée-Ferré (en alternance avec Sylvain Riéjou), Julien Lacroix, Anne Lenglet (en alternance avec Daphne Koutsafti), Irina Solano (en alternance avec Bahar Temiz), Vincent Weber
Scénographie en collaboration avec Alix Boillot
Costumes, Suzanne Veiga Gomes, assistée de François Maurisse
Collaboration artistique, Anne Lenglet, Jonas Rutgeerts
Lumières et régie générale, Fanny Lacour
Son, Cornelia Friederike Müller, Nils De Coster
Traduction, François Maurisse, Julien Lacroix, Ivana Müller
Administration et production I’M COMPANY / ORLA (Capucine Goin et François Maurisse)
Coproduction Schauspiel Leipzig ; Ménagerie de verre (Paris) ; Kunstencentrum BUDA (Courtrai) ; CCN2 – Centre chorégraphique national de Grenoble ; Kaaitheater (Bruxelles) ; Tanzfabrik (Berlin)
Avec le soutien de la Drac Île-de-France au titre de l’aide à la structuration, apap – performing Europe 2020, ACT – Art Climate Transition
Remerciements Théâtre Paris-Villette, Théâtre Nanterre-Amandiers, Les Laboratoires d’Aubervilliers, KUMQUAT | performing arts (Paris)
Coproduction et coréalisation de la CoOP Maison des métallos (Paris) ; Festival d’Automne à Paris
« Avec beaucoup d’humour, de finesse et d’intelligence, Forces de la Nature nous rappelle que nous sommes dans un écosystème aussi précieux que fragile et nous invite à nous mettre, ensemble, en mouvement pour le préserver. » Delphine Baffour, La Terrasse
Dans le cadre de CoOP à la Maison des Métallos, Ivana Muller propose un spectacle qui interroge le fonctionnement d’un groupe. Cinq personnes cherchent à construire une partition commune autour de la présence de fils qui les lient tout en leur imposant une distance à explorer.
Forces de la nature suit le mouvement d’un organisme articulé et complexe ayant des énergies et des idées différentes. Au-delà de ces oppositions, un but commun unit les cinq membres du groupe : la construction d’un espace physique et imaginaire qu’ils partagent. Les négociations entre eux donnent naissance à des mouvements et la pièce devient un voyage à travers un paysage en transformation permanente. Ainsi, le processus de création se déroule devant les yeux du spectateur. La partition semble s’écrire toute seule, bien que des « forces de la nature » entourent les corps et l’imaginaire des performeurs qui composent avec elles. La pièce interroge donc le « commun », les interdépendances, la pertinence des choix individuels et collectifs, l’effort et la nécessité d’agir.