Eleanor Bauer

Échelle Humaine / A lot of moving parts

Archive 2018
Lafayette Anticipations – Fondation Galeries Lafayette
20 – 21 septembresept.
1/3

A lot of moving parts
Durée estimée : 1h
Conception, chorégraphie, texte et interprétation, Eleanor Bauer
Costumes, Sofie Durnez
Lumières, Jonatan Winbo
Musique, WATT (Jean Dousteyssier, Jean-Brice Godet, Antonin-Tri Hoang et Julien Pontvianne)

Spectacle créé le 20 septembre 2018 à Lafayette Anticipations avec le Festival d’Automne à Paris
Production GoodMove vzw
Avec le soutien de SKH Stockholm University of the Arts, DOCH University of Dance and Circus et Lafayette Anticipations
La Fondation d’entreprise Hermès est le mécène du Portrait Anne Teresa De Keersmaeker.
En partenariat avec France Inter

"La nouvelle pièce de Eleanor Bauer, un solo intitulé A Lot of Moving Parts, se pose au carrefour du mouvement et du texte. Celle qui revendique comme influences littéraires les écrits de Clarice Lispector, Hélène Cixous et Virginia Woolf, y entrechoque ses poèmes et ses gestes pour tenter de faire surgir des étincelles." Le Monde

Pour sa première édition, Échelle Humaine, le festival de danse de Lafayette Anticipations, s’associe au Portrait Anne Teresa De Keersmaeker présenté par le Festival d’Automne. Pendant une semaine, la chorégraphe ainsi qu’Andros Zins-Browne, Eleanor Bauer et Radouan Mriziga s’approprient par le mouvement les espaces de la nouvelle fondation. Présenté les 20 et 21 septembre, le nouveau solo d'Eleanor Bauer intitulé A lot of moving parts fait une large place au texte et à la poésie.

Pour sa nouvelle création A lot of moving parts, la chorégraphe américaine Eleanor Bauer part de l’étymologie de sa propre discipline pour se questionner sur la place de l’écriture (graphế en Grec) au sein d’une pratique corporelle souvent plutôt issue de transmissions orales. A lot of moving parts est à la fois une pensée en mouvement et un mouvement en pensée. Apportant ses poèmes et essais à sa performance, Bauer propose un solo qui se confronte aux frictions, collisions et impossibles traductions entre danse et langage. Dans sa recherche des « plus petits récipients au sein desquels la complexité de la danse peut s’épanouir », Bauer crée un contexte intime où le public est invité à faire appel à tous ses sens pour cheminer avec la danse. Tout au long de ce solo d’une heure, son corps apparait et disparaît sous des accessoires élastiques, lumineux et sonores dans un mouvement cyclique qui reconfigure constamment l’espace physique, imaginaire et symbolique entre scène et salle.
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Durée estimée : 1h

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