Mette Ingvartsen
7 Pleasures
18 – 21 novembrenov.
Conception et chorégraphie, Mette Ingvartsen
Avec Sirah Foighel Brutmann, Johanna Chemnitz, Katja Dreyer, Elias Girod, Bruno Freire, Dolores Hulan, Ligia Lewis, Danny Neyman, Norbert Pape, Pontus Pettersson, Hagar Tenenbaum, Marie Ursin
Remplacement, Ghyslaine Gau
Lumière, Minna Tiikkainen
Musique et Son, Peter Lenaerts, musique de Will Guthrie (Breaking Bones)
Dramaturgie, Bojana Cvejic
Assistante chorégraphie, Manon Santkin
Assistante lumière, Nadja Räikkä
Directeur technique, Joachim Hupfer
Régisseur son, Adrien Gentizon
Manager, Kerstin Schroth
Assistante de production, Manon Haase
Production Mette Ingvartsen – Great Investment
Coproduction Festival Streirischer Herbst (Graz) ; Kaaitheater (Bruxelles) ; HAU Hebbel am Ufer (Berlin) ; Festival d’Automne à Paris ; Les Spectacles vivants – Centre Pompidou ; Théâtre National de Bretagne (Rennes) ; PACT Zollverein (Essen) ; Dansens Hus (Oslo) ; Tanzquartier (Vienne) ; Kunstencentrum BUDA (Kortrijk) ; BIT Teatergarasjen (Bergen) ; Dansehallerne (Copenhague)
Coréalisation Les Spectacles vivants – Centre Pompidou ; Festival d’Automne à Paris
Une coproduction House on Fire avec le soutien du programme culturel de l’Union européenne
Spectacle créé le 26 septembre 2015 au Festival Streirischer Herbst (Graz
Sept notions de plaisir : à ressentir, à recevoir comme énigme perceptive et question politique. Comment générer et transmettre une expérience alternative du plaisir ? Explorer ses points troubles, ses zones de jonction avec le dedans, le dehors – ses ramifications sociales et subjectives ?
Utiliser son potentiel perturbateur pour bouleverser les images attachées à la sexualité et à la nudité ? À la fois prolongement sensoriel, prise de position et installation charnelle, 7 Pleasures assume son caractère polymorphe et équivoque. Comme un fondu enchaîné d’états, un long mouvement organique d’exploration par la peau, les corps se touchent, se testent, perdent leurs frontières. Ils vibrent, entrent en contact, s’agencent avec les objets qui les entourent – formant des constellations désirantes inattendues. Par palier se dévoile une expérience où chaque aspect du plaisir est retourné sous toutes ses coutures. Sept cercles qui se succèdent, entremêlent leurs questions respectives jusqu’à dresser une cartographie du plaisir à éprouver tout autant qu’à déchiffrer.
Après avoir étudié les interactions entre l’humain et le non-humain, la porosité entre individus, objets, matières dans des spectacles à la frontière de l’installation plastique comme The Artificial Nature Project ou Evaporated Landscapes, la chorégraphe Mette Ingvarsten lance un nouveau chantier autour des représentations de la sexualité, initié par le solo 69 positions : en ligne de mire, les mutations du corps contemporain dans un contexte en perpétuelle évolution.
Dans le même lieu