Richard Siegal

Glossopoeia

Richard Siegal / Alberto Posadas

Archive 2009
Danse
1/2

Fin de la grève au Centre Pompidou.
Nous vous informons de la fin de la grève au Centre Pompidou et de la reprise du spectacle pour une unique représentation ce vendredi 18 décembre à 20h
Il est possible d'assister à cette représentation avec vos billets quelque soit la date que vous aviez choisie (16,17 et 18 décembre à 20h)
Si vous souhaitez néanmoins être remboursés, veuillez nous retourner vos billets :
Festival d'Automne à Paris, Service Billetterie, 156 rue de Rivoli- 75001 Paris
Les spectateurs ayant acheté des billets au Festival d'Automne pour ces représentions seront remboursés.

Pour ceux ayant acheté leur billets au Centre Pompidou cliquez sur ce lien

Pour tout renseignement : 01 53 45 17 17

Danse/Musique

Glossopoeia
Création
Chorégraphie, Richard Siegal
Musique, Alberto Posadas
Scénographie, Virginie Mira en collaboration avec Richard Siegal
Lumière, Gilles Gentner
Costumes, Alexandra Bertaut
Création d’images, Artefactory Lab
Vidéo, Yann Philippe
Réalisation informatique musicale Ircam, Lorenzo Bianchi
Dispositif de captation gestuelle Ircam, Frédéric Bevilacqua, Emmanuel Fléty, Bruno Zamborlin
Solistes de l’Ensemble intercontemporain, Alain Billard, Odile Auboin, Eric-Maria Couturier, Samuel Favre
Danseuses, Raphaëlle Delaunay, Julie Guibert, Asha Thomas


Coproduction Ircam/Les Spectacles vivants-Centre Pompidou, Ensemble intercontemporain ; Operadhoy-Madrid ; Festival d’Automne à Paris
Commande de l’Ircam-Centre Pompidou, de Kairos Music et de Operadhoy-Madrid, avec le soutien du Fonds musique de scène-SACD
Avec le soutien du CENTQUATRE, partenaire de l’Ircam pour l’accueil des projets d’expérimentation autour du spectacle vivant et du réseau Varèse, subventionné par le programme culture de la Commission européenne.
Avec le soutien de l’Adami

Cette pièce est née de la rencontre entre deux champs artistiques – la musique et la chorégraphie – et entre deux écritures. Celle du chorégraphe Richard Siegal, ancien danseur de William Forsythe qui, depuis sa pièce if / then, utilise un système de notation formelle des mouvements ; et celle du compositeur espagnol Alberto Posadas, dont les partitions explorent la combinatoire mathématique. Après avoir travaillé à la transposition musicale d’espaces architecturaux ou de techniques issues de la peinture, Alberto Posadas s'intéresse cette fois à l’implication du mouvement dans la transformation du son.
Grâce à un système de captation et d’analyse des gestes, une interaction en temps réel s'établit entre la danse et les paramètres de transformation de la matière sonore – jouant sur la spatialisation, les textures, les fréquences, les effets d'harmonie… Divisée en plusieurs parties – avec ou sans chorégraphie, utilisant ou non le dispositif interactif – cette pièce dégage une série d'intervalles entre lesquels se glisse un doute sur la nature de nos perceptions : les mécanismes d'interférence modifient-ils notre écoute, notre vision ? Les musiciens sont-ils des instruments, des chefs d'orchestre invisibles ? Comment la musique, en retour, les anime-t-elle ? « L'architecture, écrivait Goethe, est une musique pétrifiée. » En friction, à l'unisson, ensemble ou séparées, musique et danse engendrent un agencement dynamique qui remet l'espace en mouvement.
 

Dans le même lieu

Centre Pompidou
27 – 29 septembresept.

Mathilde Monnier
Territoires

Danse
Réserver

Investissant les galeries du Centre Pompidou le temps d’un week-end, Mathilde Monnier propose avec Territoires un travail sur la mémoire et la circulation, comme « une collection de 30 ans de gestes issus de ses créations ». Une façon de faire jouer la mémoire au présent, dès maintenant, ou par anticipation.

Centre Pompidou
2 octobreoct. – 9 novembrenov.

Apichatpong Weerasethakul
Rétrospective intégrale des films et vidéos

Arts visuels Focus
Réserver

Apichatpong Weerasethakul présente la rétrospective intégrale de ses films au Centre Pompidou : ses huit longs métrages, la trentaine de films courts (et rares) qu’il a réalisés, des œuvres collectives ainsi que deux longs métrages dont il est le producteur.

Centre Pompidou
2 octobreoct. – 6 janvierjan.

Apichatpong Weerasethakul
Particules de nuit

Arts visuels Focus
Réserver

Le cinéaste thaïlandais Apichatpong Weerasethakul est l’invité du Festival d’Automne et du Centre Pompidou. Il expose une dizaine d’installations vidéos qui transforme l’ancien solarium en un espace nocturne habité par les réminiscences biographiques et architecturales.

Centre Pompidou
5 – 14 octobreoct.

Apichatpong Weerasethakul
A Conversation with the Sun (VR), extended edition

Performance Focus

Seconde incursion du cinéaste thaïlandais dans le domaine de la performance, A Conversation with the Sun (VR), extended edition, présentée à Paris dans une nouvelle version enrichie d’une troisième partie, fabrique à l’aide de la réalité virtuelle les conditions d’un rêve collectif.

Centre Pompidou
23 – 26 octobreoct.
Points communs – Théâtre 95
12 – 13 novembrenov.

Ligia Lewis
Still Not Still

Danse
Réserver

La chorégraphe Ligia Lewis poursuit avec Still Not Still sa réflexion sur les silences et les zones d’ombres de l’Histoire. Dans cette pièce, les interprètes rejouent en boucle une partition dont la dimension burlesque ne fait que souligner le tragique.

Centre Pompidou
27 – 30 novembrenov.

Forced Entertainment
Signal to Noise

Théâtre

La compagnie menée par Tim Etchells fête ses quarante ans d’existence et n’en finit pas de se renouveler. Plongés dans une réalité virtuelle qui vacille, six comédiennes et comédiens se voient dépossédés de leurs voix, et de leur être. C’est à ne plus rien y comprendre… Bienvenue dans ce nouveau monde.

Centre Pompidou
13 – 22 décembredéc.
Théâtre des Quartiers d'Ivry
22 – 26 janvierjan.

Sébastien Kheroufi
Par les villages

Théâtre
Réserver

C’est au balbutiement de son parcours artistique que Sébastien Kheroufi découvre Par les villages, de Peter Handke qui évoque le retour d’un écrivain dans son village natal. Dans ce contexte crépusculaire où un univers décline au profit d’un autre, s’élèvent les voix des « offensés et humiliés » qui autrefois se taisaient.