Vera Mantero
Jusqu’à ce que Dieu…
Vera Mantero
Création
Direction artistique, Vera Mantero
Interprétation et co-création, Antonija Livingstone, Brynjar Bandlien, Loup Abramovici, Marcela Levi, Pascal Quéneau, Vera Mantero
Conception de l’espace et des costumes, Nadia Lauro
Musique, Boris Hauf
Lumière, Jean-Michel Le Lez
Collaboration dramaturgique, Bojana Bauer
Production déléguée, O Rumo do Fumo
Coproduction Les Spectacles vivants - Centre Pompidou, Culturgest de Lisbonne, Centre Chorégraphique National de Tours, O Espaço do Tempo de Montemor-o-Novo, Le Quartz/Scène Nationale de Brest, Festival d’Automne à Paris
O Rumo do Fumo est soutenu par le Ministère de la
culture portugais / Institut des Arts
Avec l'aide de la Fondation Calouste Gulbenkian de Lisbonne
Ses créations, solos ou spectacles conçus avec d’autres chorégraphes – Robyn Orlyn par exemple – explorent, parfois avec humour, une voie volontairement tâtonnante, se définissant souvent dans le même temps qu’elle s’expérimente et qui donne une large place à l’improvisation.
Intime, sombre et minimale dans sa création en 2002, baroque et colorée dans Poésie et Sauvagerie. Sa dernière création travaille à rétablir un continuum organique capable de réconcilier « raison + sensualité + sentiments + volonté » et d’accueillir « difficultés de toutes sortes », de faire une place à ce « dérèglement anthropologique » qui est le signe de notre « puissante impuissance ».
Une même attention portée aux « choses inexplicables et indescriptibles par notre langage de tous les jours, mais dicibles par ces autres langues qui sont dans nos corps, dans notre perception, dans notre existence à tous ».
Dans le même lieu
Mathilde Monnier Territoires
Investissant les galeries du Centre Pompidou le temps d’un week-end, Mathilde Monnier propose avec Territoires un travail sur la mémoire et la circulation, comme « une collection de 30 ans de gestes issus de ses créations ». Une façon de faire jouer la mémoire au présent, dès maintenant, ou par anticipation.
Apichatpong Weerasethakul Rétrospective intégrale des films et vidéos
Apichatpong Weerasethakul présente la rétrospective intégrale de ses films au Centre Pompidou : ses huit longs métrages, la trentaine de films courts (et rares) qu’il a réalisés, des œuvres collectives ainsi que deux longs métrages dont il est le producteur.
Apichatpong Weerasethakul Particules de nuit
Le cinéaste thaïlandais Apichatpong Weerasethakul est l’invité du Festival d’Automne et du Centre Pompidou. Il expose une dizaine d’installations vidéos qui transforme l’ancien solarium en un espace nocturne habité par les réminiscences biographiques et architecturales.
Apichatpong Weerasethakul A Conversation with the Sun (VR), extended edition
Seconde incursion du cinéaste thaïlandais dans le domaine de la performance, A Conversation with the Sun (VR), extended edition, présentée à Paris dans une nouvelle version enrichie d’une troisième partie, fabrique à l’aide de la réalité virtuelle les conditions d’un rêve collectif.
Ligia Lewis Still Not Still
La chorégraphe Ligia Lewis poursuit avec Still Not Still sa réflexion sur les silences et les zones d’ombres de l’Histoire. Dans cette pièce, les interprètes rejouent en boucle une partition dont la dimension burlesque ne fait que souligner le tragique.
Forced Entertainment Signal to Noise
La compagnie menée par Tim Etchells fête ses quarante ans d’existence et n’en finit pas de se renouveler. Plongés dans une réalité virtuelle qui vacille, six comédiennes et comédiens se voient dépossédés de leurs voix, et de leur être. C’est à ne plus rien y comprendre… Bienvenue dans ce nouveau monde.
Sébastien Kheroufi Par les villages
C’est au balbutiement de son parcours artistique que Sébastien Kheroufi découvre Par les villages, de Peter Handke qui évoque le retour d’un écrivain dans son village natal. Dans ce contexte crépusculaire où un univers décline au profit d’un autre, s’élèvent les voix des « offensés et humiliés » qui autrefois se taisaient.