Federico León
Mil quinientos metros sobre el nivel de Jack
Mille cinq cents mètres sous le niveau de Jack
Mil quinientos metros sobre el nivel de Jack
(Mille cinq cents mètres sous le niveau de Jack)
Texte et mise en scène, Federico León
Scénographie, Ariel Vaccaro
Musique et création sonore, Carmen Baliero
Lumière, Alejandro Le Roux
Avec Carla Crespo, Diego José Ferrando, Ignacio Rogers, Beatriz Thibaudin
Production Teatro Municipal General San Martin
Coréalisation Théâtre de la Cité Internationale, Festival d'Automne à Paris
Avec le soutien de la Direcciôn General de Asuntos Culturales de la Cancelleria Argentina, de l'Onda et d'agnès b.
Ils sont quatre, deux femmes sans mari et deux fils sans père, qui plongent et replongent, au propre et au figuré, "dans la baignoire de leurs souvenirs et de leur chagrin". Au fil de l'eau et du texte de Federico León, Argentin des petites compagnies indépendantes de Buenos Aires, s'écoule la tragédie intime de la disparition du père "plongeur en haute mer" et se dévoile, non sans humour, la fascination ambiguë des rapports fusionnels mère-fils.
Dans le même lieu
Steven Cohen Boudoir
Si les performances de l’artiste sud-africain ont consisté jusque-là à s’exposer sur scène comme dans des espaces publics, cette fois Steven Cohen accueille dans un espace intime et réservé : un boudoir, chapelle ou refuge destiné à recueillir ses souvenirs autant qu’à faire se projeter les tortueuses mémoires du siècle.
Lina Majdalanie, Rabih Mroué Photo-Romance
Comment présenter l’adaptation d’un célèbre film de cinéma à la censure libanaise ? L’on devinera qu’il s’agit d’un film qui raconte la rencontre improbable de deux êtres très dissemblables subissant une aliénation sociale dans l’Italie fasciste de 1938. L’adaptation se situe à Beyrouth en 2007, peu après une attaque israélienne sur le Liban.