Laurie Anderson
Songs and Stories from Moby Dick
Songs and Stories from Moby Dick
Inspiré par le roman de Herman Melville
Conception visuelle, livret et musique, Laurie Anderson
Collaborations :
Conception visuelle, Christopher Kondek
Décors, James Schuette
Conception du son, Miles Green
Lumière, Michael Chybowski
Mise en scène, Anne Bogart
Avec Laurie Anderson, Tom Nelis, Anthony Turner, Skuli Sverrisson, Price Waldman
Production electronic theater company, inc.
Avec le concours de Love Stream Prod. agnès b. et The Bohen Foundation.
Coproduction Brooklyn Academy of Music, CalPerFormances Berkeley, Pence Music Theater, Philadelphie, Spoleto Festival USA Charleston, UCLA Center of the Performing Arts, University Musical Society, University of Michigan, Festival d'Automne à Paris/MC 93 Bobigny.
Avec le concours de l'American Center.
Manifestation du Programme 2000 en France
Laurie Anderson combine depuis plus de vingt ans sa singularité inventive, sa poésie insolite ou fantastique aux technologies contemporaines. L'esprit d'Herman Melville et Moby Dick imprègnent profondément son nouveau spectacle musical. On y retrouve le souffle du vent, la puissance silencieuse de l'océan, la solitude du capitaine Achab face au monstre et à ses propres fantômes. Car l'inlassable poursuite de la grande baleine blanche est sa folie à lui, son obsession. D'une portée encyclopédique, ce livre étrangement silencieux alterne les considérations sur l'histoire, la philosophie, la science, la religion et le monde en général. "Songs and Stories from Moby Dick est en fait une sorte de palimpseste, un morceau de papier sans cesse effacé, réinterprété et re-formé au travers de très nombreux filtres et prismes. Ce fut pour moi un voyage fascinant et fou. Un voyage où j'ai d'abord tenté de comprendre le livre puis de lui donner une vie à ma façon" Laurie Anderson
Dans le même lieu
Soa Ratsifandrihana Fampitaha, fampita, fampitàna
Engageant les corps dans une oralité contemporaine, Soa Ratsifandrihana, le guitariste Joël Rabesolo et les performeuses et performeurs Audrey Mérilus et Stanley Ollivier se nourrissent de leurs récits diasporiques et de leurs origines pour raconter une histoire qu’ils auraient aimé entendre ou voir. Fampitaha, fampita, fampitàna – trois mots malgaches signifiant comparaison, transmission et rivalité – forment des déclinaisons dans lesquelles les interprètes glissent d’un état à l’autre et semblent suivre un mouvement en perpétuelle métamorphose.
Jeanne Balibar Les Historiennes
Trois femmes ressurgissent du passé grâce à trois historiennes contemporaines qui les ressuscitent en trois récits, dont s’empare l’actrice Jeanne Balibar pour en proposer une lecture jouée. Quatre femmes d’aujourd’hui posent un regard particulièrement éloquent et incisif sur trois destinées féminines emblématiques.
Nacera Belaza La Nuée
Reconnue pour ses chorégraphies minimalistes et envoûtantes, Nacera Belaza poursuit son exploration du cercle et du rythme initiée avec Le Cercle (2019) et L’Onde (2021), pièces marqueurs de son langage chorégraphique. Après une première étape de création à Bruxelles en mai 2024, la chorégraphe prolonge le processus de création de La Nuée en invitant dix nouveaux interprètes au plateau.
Stefan Kaegi (Rimini Protokoll) Ceci n’est pas une ambassade (Made in Taiwan)
C’est à Taïwan que nous embarque le metteur en scène voyageur de Rimini Protokoll, Stefan Kaegi, avec trois performeurs natifs et résidents de l’île. Dans ce spectacle où l’action filmée en direct nous entraîne dans les méandres d’un décor miniature, la fiction pointe une réalité géopolitique ubuesque.
Rosana Cade, Ivor MacAskill The Making of Pinocchio
Investissant, pour le théâtre, le territoire peu exploré de l’affection queer, le duo Cade MacAskill part du conte de Collodi pour raconter la transition de genre et ses répercussions dans le couple. The Making of Pinocchio apparaît comme un manifeste burlesque pour les formes en construction.
Joël Pommerat Marius
Ce spectacle, inspiré de l’œuvre de Marcel Pagnol, explore le thème de l’évasion. Certains des comédiens ont découvert le théâtre à la maison centrale d’Arles. Marius offre une occasion unique de découvrir une dimension peu connue mais cruciale de l’art de Joël Pommerat.