Régine Chopinot
Façade
Un divertissement
Façade
(Un Divertissement)
Chorégraphie, Régine Chopinot
Musique, William Walton
Poèmes, Edith Sitwell
Direction Musicale, Cyril de Turckheim
Scénographie, Jean Le Gac
Costumes, Jean-Paul Gaultier
Lumière, Gérard Boucher
Danseurs John Bateman, Régine Chopinot, Marie-Françoise Garcia, Hiroko Kamimura, Joseph Lennon, Samuel Letellier, Georgette Louison Kala-Lobe, Michèle Prelonge, Pascal Seraline, Eric Ughetto, Duke Wilburn
Récitant, Glenn Chambers
Musiciens Jean-Loup Grégoire, flûte, Alain Truillard, clarinette, Daniel Petitjean, saxophone, Eric Laparra de Salgues, trompette, Aline Potin, percussions Laurence Allalah, violoncelle
Dans le même lieu
Sorour Darabi, DEEPDAWN Mille et Une Nuits
Le chorégraphe iranien Sorour Darabi, résidant en France depuis 2013, dévoile son premier opéra, une performance déambulatoire qui donne la place aux voix marginalisées par les anciens mythes. Une pièce créée par et pour des corps engagés.
Carolina Bianchi y Cara de Cavalo Trilogie Cadela Força – Chapitre I : A Noiva e o Boa Noite Cinderela
Comme dans une descente aux enfers, Carolina Bianchi expose l’horreur inexprimable des violences sexistes, en plongeant dans un espace entre-deux où la mémoire est trouble. En mettant son corps en jeu, elle s’ancre dans l’histoire de la performance féministe, avec un regard critique, sur les pas de l’artiste Pippa Bacca.
Théo Mercier Skinless
Bâti sur un paysage de détritus, Skinless est un éden désenchanté mis en scène par le plasticien Théo Mercier. Dans ce panorama de la fin du monde aux dimensions XXL, un couple hors normes s’aime et se déchire sous la surveillance d’un tragique observateur.
Romeo Castellucci, Esa-Pekka Salonen, Gustav Mahler Symphonie No. 2 “Résurrection” Avec l'Orchestre de Paris
Mise en espace par Romeo Castellucci, la symphonie Résurrection de Gustav Mahler semble prendre toute sa grandeur tragique. Pour magnifier cette œuvre monumentale dirigée d’une main de maître par Esa-Pekka Salonen, le metteur en scène italien nous offre un funèbre « chant de la terre » dont on ne ressort pas indemne.
Marlene Monteiro Freitas, Ballet de l’Opéra de Lyon Canine Jaunâtre 3
Deux ans après le Portrait qui lui a été consacré au Festival d’Automne, Marlene Monteiro Freitas pirate le match : munis d’un unique dossard n°3, vingt-cinq virtuoses dérèglent le score, se mesurent au grotesque et plient le game. L’excentrique chorégraphe transmet au Ballet de l’Opéra de Lyon cette joute des temps hybrides, fresque carnavalesque où l’humain, l’animal et la machine tendent à se confondre.