Marlene Monteiro Freitas
idiota
26 – 29 octobreoct.
Chorégraphie et performance, Marlene Monteiro Freitas
Assistante chorégraphie, Hsin-Yi Hsiang
Scénographie, Marlene Monteiro Freitas, Miguel Figueira, Yannick Fouassier
Lumières, Yannick Fouassier
Son, Rui Antunes
Costumes, Marlene Monteiro Freitas
Production P.OR.K (Soraia Gonçalves, Joana Costa Santos - Lisbonne)
Diffusion Key Performance (Stockholm)
Coproduction CNAD – Centro Nacional de Arte, Artesanato e Design (Mindelo) ; Kunstenfestivaldesarts (Bruxelles) ; Wiener Festwochen ; Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien du Theatre of Freiburg ; Mattatoio – Azienda Speciale Palaexpo (Rome)
Coréalisation Palais de la Porte Dorée (Paris) ; Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Manifestation organisée dans le cadre de la Saison France-Portugal 2022
Avec le soutien de LVMH, membre du Comité des mécènes de la Saison France-Portugal 2022
« En plaçant sa nouvelle pièce sous influence du mythe de Pandore, Marlene Monteiro Freitas s’offre un exercice de métamorphose inédit. Peu à peu, un subtil jeu de doubles prend possession de ce corps, militaire d’opérette, enfant ou divinité. » Les Inrocks
« Libérées, extravagantes, les pièces de Marlene Monteiro Freitas font du bruit, prennent de la place, explosent dans tous les sens. » Trois Couleurs
« Douze ans de travail, huit productions à l’affiche jusqu’au 21 décembre pour brosser l'œuvre d’une artiste caoutchouteuse et insaisissable, vivante pâte à modeler se glissant dans toutes les formes sans entrer dans aucune case. » Le Monde
« Idiota renvoie à une forme d’idiotie revendiquée, d’innocence, de folie aussi, qui fait son miel de tout et son contraire sans aucun souci de hiérarchie, visant à déstabiliser en permanence. » Rosita Boisseau, Télérama Sortir
idiota, c’est d’abord une boîte : à la fois magique, fascinante, inquiétante… conçue et habitée par Marlene Monteiro Freitas. idiota entend « égarer » le spectateur pour mieux le retrouver au final, ébloui.
À l’origine d’idiota, dernière création en date de Marlene Monteiro Freitas, un dialogue avec l’œuvre du peintre et sculpteur cap-verdien Alex Da Silva disparu en 2019. Puis l’imagination de la chorégraphe et interprète a pris le relais. Ouvrant sa propre boîte, Marlene Monteiro Freitas se faufile entre les espaces, multiplie les pistes. Les sens et l’orientation d’idiota seront pleinement agressés, transformant les fenêtres en miroirs, la porte en autoportrait, la mémoire de Pandora… Pour trouver la sortie, idiota doit relever ces défis promet-elle. Avec cette pièce, au plus près des corps, Marlene Monteiro Freitas retrouve le goût de l’autre. Le mythe de Pandora, première femme humaine dans la mythologie grecque et porteuse de tous les maux, devient sous nos yeux le déploiement de possibilités infinies.
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