Myriam Gourfink
Structure Souffle
14 – 16 septembresept.
Composition chorégraphique, Myriam Gourfink
Composition musicale et interprétation live, Kasper T. Toeplitz
Avec Alexandra Damasse, Céline Debyser, Karima El Amrani, Carole Garriga, Deborah Lary, Azusa Takeuchi, Véronique Weil, Annabelle Rosenow
Régie générale, Zakarriyya Cammoun
Administration, Matthieu Bajolet
Production, Laurence Giraud
Diffusion, Weina Zhang
Communication, Cédric Chaory
Le Centre des monuments nationaux, l’Atelier de Paris / CDCN et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.
Dans le cadre de la programmation « Monuments en mouvement » du Centre des monuments nationaux
Production déléguée, LOLDANSE
Coproduction, Centre chorégraphique national de Caen en Normandie, dans le cadre de l’accueil-studio ; La Place de la danse / CDCN Toulouse Occitanie ; Atelier de Paris / CDCN ; Le Dancing / CDCN Dijon Bourgogne-Franche-Comté ; Festival d’Automne à Paris ; Centre des Monuments nationaux.
Soutien : CN D – Centre national de la Danse dans le cadre de l’accueil en résidence
LOLDANSE est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication, DRAC Île-de-France.
Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Myriam Gourfink conçoit des pièces chorégraphiques radicales, c’est-à-dire qui concernent la racine même du mouvement. Avec le souffle comme structure première du corps mouvant, sa chorégraphie, inspirée des danses de couple et mise en musique par Kasper T. Toeplitz, met en jeu l’expansion de la perception, l’exploration du contact et le vide qui se forme et se déforme entre les corps.
Dans la Sainte-Chapelle du Château de Vincennes, au centre du cercle que constituent les spectateurs, huit danseuses reliées entre elles par d’intrigantes accroches. Une tête qui rentre dans un ventre, des ongles sur une paume : le vocabulaire des danses de couple passé au tamis de la notation Laban et de l’écriture de Myriam Gourfink fait naître des figures inattendues. Prolongement de leurs souffles, les corps en contrepoids constant forment une structure élastique dont les deux lobes se contractent, se dilatent, se fractionnent. En résonance avec le continuum chorégraphique et la partition ouverte, Kasper T. Toeplitz – compositeur attitré de la compagnie – sculpte en temps réel l’instabilité de fréquences électroniques. Après Glissements – présenté au Festival d’Automne en 2019 pour Les Nymphéas du Musée de l’Orangerie –, la chorégraphe crée in situ cette pièce qui rend visible l’invisible : ce souffle qui nous relie.