Nouri Iskandar / Kiawash Sahebnassagh / Daniel Landau / Rashidah Ibrahim / Saed Haddad
Mawal Kurdeli / Ana Shahid...
Nouri Iskandar / Kiawash Sahebnassagh / Daniel Landau / Rashidah Ibrahim / Saed Haddad
Archive 2007
Musique
1/2
Nouri Iskandar, Mawal Kurdeli, pour deux violons et violoncelle
Kiawash Sahebnassagh, Kava, pour setâr et ensemble
Création, commande du Festival d’Automne à Paris
Daniel Landau, Ana Shahid, pour qânûn, ensemble et électronique
Pause
Rashidah Ibrahim, Music for Nay and Chamber Orchestra
Saed Haddad, On Love I, pour qânûn et ensemble
Wafaa Safar, nây
TaoufikMirkhan, qânûn pour l'oeuvre de Saed Haddad
Massoud Shaari, setâr
Jamil Al-Asadi, qânûn pour l'oeuvre de Daniel Landau
Nieuw Ensemble
Direction,GarryWalker
Durée : 65’ plus pause
Rencontre avec les compositeurs à l’issue du concert
Conseiller artistique, Joël Bons
En collaboration avec le Nieuw Ensemble Amsterdam
Coréalisation Opéra national de Paris ; Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien de Mécénat Musical Société Générale,
la Sacem et de la Fondation Ousseimi
Kiawash Sahebnassagh, Kava, pour setâr et ensemble
Création, commande du Festival d’Automne à Paris
Daniel Landau, Ana Shahid, pour qânûn, ensemble et électronique
Pause
Rashidah Ibrahim, Music for Nay and Chamber Orchestra
Saed Haddad, On Love I, pour qânûn et ensemble
Wafaa Safar, nây
TaoufikMirkhan, qânûn pour l'oeuvre de Saed Haddad
Massoud Shaari, setâr
Jamil Al-Asadi, qânûn pour l'oeuvre de Daniel Landau
Nieuw Ensemble
Direction,GarryWalker
Durée : 65’ plus pause
Rencontre avec les compositeurs à l’issue du concert
Conseiller artistique, Joël Bons
En collaboration avec le Nieuw Ensemble Amsterdam
Coréalisation Opéra national de Paris ; Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien de Mécénat Musical Société Générale,
la Sacem et de la Fondation Ousseimi
Douze ans après le cycle « Éclats d’une génération dispersée », consacré – avec déjà la complicité du Nieuw Ensemble d’Amsterdam – à la génération de compositeurs chinois née pendant la Révolution culturelle, et en miroir de celui-ci, le Festival d’Automne invite à la découverte des voix d’un autre monde.
Trois concerts sont ainsi l’occasion de découvrir nombre de compositeurs originaires d’Égypte, d’Iran, d’Israël, de Jordanie, du Koweit, du Liban, de Palestine, de Syrie, ainsi que quelques grands solistes de ce Moyen-Orient.
Au-delà des frontières, des écarts – essentiellement celui qui sépare l'Iran et la musique d'origine persane de la musique des pays arabes et d’Israël – et de la diversité des langages, ces musiciens peuvent constituer trois groupes : ceux qui, sans s’être privés d’aller jadis en Occident, ont préféré s’établir chez eux pour y poursuivre leur carrière et y développer une œuvre pas moins contemporaine ; ceux qui, après leurs études, sont retournés dans leur pays, pour y essaimer, transmettre et, sans cesser de se nourrir d’allers-retours vers notre continent, opérer une manière de synthèse ; ceux qui, après être venus y étudier, se sont installés durablement en Occident – à Amsterdam, Berlin ou Paris – pour se fondre dans le vocabulaire de la musique occidentale, sans se préoccuper de leurs folklores et leurs racines.
Autant de lignes de vie qui ne viennent que complexifier et enrichir un peu plus une géographie et une production artistiques « où l’Histoire (intime ou politique) s’invite avec force ».
Trois concerts sont ainsi l’occasion de découvrir nombre de compositeurs originaires d’Égypte, d’Iran, d’Israël, de Jordanie, du Koweit, du Liban, de Palestine, de Syrie, ainsi que quelques grands solistes de ce Moyen-Orient.
Au-delà des frontières, des écarts – essentiellement celui qui sépare l'Iran et la musique d'origine persane de la musique des pays arabes et d’Israël – et de la diversité des langages, ces musiciens peuvent constituer trois groupes : ceux qui, sans s’être privés d’aller jadis en Occident, ont préféré s’établir chez eux pour y poursuivre leur carrière et y développer une œuvre pas moins contemporaine ; ceux qui, après leurs études, sont retournés dans leur pays, pour y essaimer, transmettre et, sans cesser de se nourrir d’allers-retours vers notre continent, opérer une manière de synthèse ; ceux qui, après être venus y étudier, se sont installés durablement en Occident – à Amsterdam, Berlin ou Paris – pour se fondre dans le vocabulaire de la musique occidentale, sans se préoccuper de leurs folklores et leurs racines.
Autant de lignes de vie qui ne viennent que complexifier et enrichir un peu plus une géographie et une production artistiques « où l’Histoire (intime ou politique) s’invite avec force ».